Quand la crise climatique nous frappera véritablement
Point de gel hydro alcoolique, de masque, de confinements
Restera nos yeux pour pleurer un passé bien révolu
Un passé empreint de vie, la préserver nous aurions pu
Pleutres et égoïstes, de la chérir nous étions à des lieux
Le faire nous aurions dû, protéger ce bien des plus précieux

Je me réjouis du vaccin nous préservant de la soif
Et des pilules contre la faim, les pharmas auront du taf
Plus rien ne poussera, sols empoisonnés devenus stériles
On bouffera vos bêtes malades et on boira vos pesticides
Nous avions les clés en main, pour l’harmonie avec notre hôte
Préférant le gain, de la terre c’est l’humanité qu‘on ôte

Julien, 06.07.2021

Aux abrutît qu’ont du pouvoir chefs du martyr en cravate noire,
qu’on fait battre sur des menhirs, des voûtes délire au nom du pire.
Que sur la croix, la gueule de bois, nous laisse que ça vinasse en guise de foie,
Merci messie, mais, si, mais non !

Le con descend dans l’humanité, c’est indécent de dire que l’homme condescendant décent du singe quand le con singe le décent.

Melina, été 2021